Clarisse Agbegnenou Origine Parents – A Rennes, France, le 25 octobre 1992, Clarisse Agbegnenou est entrée dans le monde (France). Malgré sa jeunesse, c’est une judoka de classe mondiale (évoluant en moins de 63 kg, soit environ le poids d’une femme moyenne). Sa patrie est le Togo.
Son club sportif s’appelle Club Escales Argenteuil (banlieue parisienne). Déjà dans sa jeune carrière, elle a remporté plusieurs médailles internationales. Malgré ses débuts dans la vie professionnelle, Clarisse n’a jamais perdu ses liens étroits avec le Togo, sa terre natale, qu’elle a visitée à plusieurs reprises.
Après sa superbe victoire individuelle, Clarisse Agbegnenou est devenue l’une des rares athlètes togolaises à recevoir les félicitations du président du pays. Les parents de Clarisse sont tous les deux togolais ! Sa mère est comptable à Atakpamé. Son père français était un scientifique renommé.
Lorsque Clarisse a commencé à pratiquer le judo, c’était juste pour le plaisir, mais avec le temps, c’est devenu son sport préféré. Elle s’est essayée à la danse, à l’athlétisme et au volley-ball avant de finalement retourner dans le monde du judoka à l’âge de neuf ans. Cette Franco-Togolaise a commencé sa formation de judo à l’âge de treize ans dans le club d’Asnières AMA Arts Martiaux. Elle a fait ses débuts dans le judo en France.
Avant de s’inscrire à l’Institut national du sport, haut lieu de la formation sportive dans l’Hexagone, Clarisse Agbegnenou va rapidement se hisser au rang de championne d’Europe cadette, vice-championne de France en 2008, et championne de France en 2009.
La dernière victoire sportive significative de Clarisse a eu lieu en août 2014 (aux championnats du monde de judo à Tcheliabinsk, en Russie). A cette occasion spéciale, Faure Gnassingbé s’est adressé à lui avec ces mots émouvants suivants : « Cette fierté sans précédent fait honneur et joie à votre Togo natal et sert d’inspiration à la jeunesse de notre pays.
À vous, au nom du peuple togolais et de moi-même, j’adresse nos plus sincères félicitations et nos meilleurs vœux de succès continu alors que le monde célèbre votre talent et votre persévérance. Elle a battu l’Israélienne Yarden Gerbi avec un ippon pour remporter le titre mondial des -63 kilogrammes. Cependant, Clarisse n’avait pas été disposée à vendre sa peau trop longtemps avant sa victoire qui a changé sa carrière.
Le “Grand Chelem aux Tournois de Paris” 2014 a vu cet athlète de taille moyenne à la peau noire remporter la médaille d’or tant convoitée. Auparavant, en 2013, elle avait également remporté une Médaille dans la même catégorie Grand Chelem. Clarisse Agbegnenou, la présentatrice française, est issue d’une famille d’origine togolaise. Il a des agriculteurs dans son arbre généalogique, des scientifiques pour parents et même un roi comme arrière-arrière-grand-père.
Les racines de la famille Agbegnenou remontent à l’Afrique de l’Ouest, plus précisément au pays du Togo. La région du Plateau, dont la capitale est Atakpamé, se situe à environ 150 kilomètres au nord de Lomé. Enfin, vous devez bifurquer vers l’ouest et vous rapprocher de la frontière ghanéenne si vous souhaitez retracer votre ascendance paternelle.
Porter une attention particulière; les routes menant à votre objectif peuvent être sinueuses. De la banlieue parisienne, le père de Clarisse, le judoka et porte-drapeau français Victor Agbegnenou, clame : « Amoussa, c’est le hamlet perdu dans lequel je suis né, au fin fond de la brousse ».
La judoka française Clarisse Agbegnenou. Elle a remporté le Championnat d’Europe en 2013, le Championnat du monde en 2014, une médaille d’argent olympique en 2016 et une médaille d’or olympique aux Jeux olympiques d’été de Tokyo 2020 en juillet 2021 dans la catégorie de poids de 63 kilogrammes.
Agbegnenou est né de parents d’origine togolaise, ce qui lui a valu la double nationalité et des liens étroits avec les deux pays. Le président togolais, Faure Gnassingbé, l’a félicitée pour sa victoire à la Coupe du monde 2014. Le 27 juillet 2021, à Tokyo, en France, une judoka nommée Clarisse Agbegnenou, d’origine togolaise et de nationalité française, a remporté la médaille d’or dans sa catégorie de poids aux Jeux Olympiques. Un nom attendu pour la plus jeune fille du roi d’Atakpamé, au Togo.
Dans son cœur, la médaillée d’or olympique de 2016 et la Slovène Tina Trstenjak savait peut-être que son temps à la tête du pays qu’elle avait dominé pendant les cinq années précédentes avait pris fin au Brésil. Après avoir navigué jusqu’au match de championnat pour lequel elle s’était entraînée, Clarisse Agbegnenou, 28 ans, a attendu le golden score (prolongation) pour assommer son prestigieux adversaire en seulement 37 secondes.
Le judo français a été propulsé sur la plus haute marche du podium olympique par un waza-ari (geste qui projette un adversaire au sol sur le dos, suivi d’une immobilisation d’au moins dix secondes et pas plus de vingt). Née à Rennes de parents togolais (Pauline et Victor Agbegnenou), Tina Trstenjak a sauté tête première dans les bras du Tricolore pour fêter ses 100 ans.
La médaille d’or olympique de Clarisse Agbegnenou a été célébrée non seulement en France, mais aussi au Togo, où elle a passé deux mois chaque été avant de rejoindre l’équipe de France à l’âge de 14 ans. Son travail ne lui a plus permis de telles absences prolongées par la suite.
Le judoka a attendu 2016 pour se rendre en Afrique de l’Ouest, plus précisément dans la région des Plateaux près de la frontière ghanéenne, où ses deux parents sont nés. Le judoka réside désormais dans l’arrondissement parisien d’Ile-de-France. Scientifique réputé, son père est issu de l’ethnie Akposso.
Sa mère, qui s’occupe des finances et de l’administration, est issue d’une famille de sportifs. Elle a perfectionné ses compétences en basket-ball pendant que son père dirigeait le club de football d’Agadji en tant que président. Pauline Agbegnenou est la fille du roi d’Atakpamé au nord de Lomé.
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