Jacques Hyver Biographie – Après avoir été détenus pendant quatorze jours, le gendarme à la retraite Narcisse Martin et la famille Maury-Laribière ont collaboré avec la police pour obtenir la libération de Michel.Hyver a été condamné à vingt ans de prison pour le meurtre de Maury et douze pour l’enlèvement de Maury-Laribière.
Hyver est finalement libéré en 2005 après une série de tentatives d’évasion spectaculaires (dont une de la grande prison de Saint-Maur). L’émission “Faites entrer l’accusé” de France 2 sera consacrée dimanche soir à l’affaire Maury-Laribière. Jean-Luc, son fils, se souvient de lui trente ans et demi plus tard. Comme la plupart des acteurs de l’époque (à l’exception du fou furieux), c’est un solitaire.
Le matin du 28 juin 1980. Roumazières TBF Le P-DG Michel Maury-Laribière vient de quitter son domicile de Confolens dans sa CX. En se rendant à l’usine, il croise un gendarme qui lui barre la route à Manot.Le premier jour du jeûne du Carême.
Le patron, vice-président du syndicat des patrons de l’époque (le CNPF), est retrouvé dix jours plus tard dans un gîte rural de Dordogne, un peu par hasard, lorsque les propriétaires signalent à la police le comportement étrange des hôtes.
Le meilleur du cinéma français dans la campagne tranquille ; un détournement médiatique inhabituel. L’affaire s’est conclue sur une note positive pour la famille Maury-Laribière le 9 juillet. En octobre 2015, la police a arrêté le braqueur présumé du club, identifié comme étant Jacques Hyver, 31 ans, un “petit voyou” d’une voyageuse et fille. -famille obsédée.
Il avait tué entre-temps un propriétaire de boîte de nuit de la région parisienne connu sous le nom de “Maury”.France 2 a exhumé le dossier de l’affaire dans les archives de la justice. Christophe Hondelatte lui dédie donc “Faites entrer l’accusé” de Richard Vargas ce dimanche soir à 22h40.
Jean-Luc Maury-Laribière, le fils du voleur qu’il avait rogné à la campagne puis à Paris avec une rançon de trois millions de francs français, avait décidé de tourner la page.Une fois la situation résolue, j’ai décidé d’agir. Ironiquement, j’ai réussi à oublier une bonne quantité d’informations.
À l’été 2007, il accepte de lancer le livre commémoratif de la Charente Libre. J’ai hésité, mais j’ai finalement décidé d’accepter. J’ai d’abord hésité quand France 2 m’a demandé de faire cette émission pour eux.J’en ai discuté avec ma mère, et elle n’était pas vraiment enthousiaste.
Beaucoup de choses sont effacées par cela. Elle a eu beaucoup de mal à voir l’avocat d’Hyver le défendre. Au final, ils ont cédé. Le niveau de difficulté a diminué depuis. Je me souviens clairement de tout ce qui m’est arrivé.Jean-Luc Maury”Même Laribière est conscient de l’effervescence persistante autour de l’affaire. C’est un chapitre des annales de la criminalité. Je ne suis pas surpris qu’il revienne ou que les gens s’y intéressent.
Un scénario noir-ish
L’actuel directeur éditorial de CL, Jacques Guyon, a déjà couvert l’affaire. C’est officiel. De son propre aveu, “C’est sans doute la plus grande affaire que la Charente ait connue.” “Il y avait là un air de mystère. C’était l’époque des soulèvements politiques, d’Action directe, et du gang Baader-Meinhof. Il y avait le personnage de Michel Maury-Laribière, “les périls de l’avarice”. décor noir.”
Le réalisateur, Richard Vargas, n’a jamais lu ce scénario. Dans les années 1980, j’ai élu domicile à Londres. J’ai complètement ignoré “l’autre chose” qui l’a enveloppé.
s les barons de la police et des rebondissements. » Même trente ans et demi plus tard, les acteurs de cette époque ont été localisés.
Mais Richard Vargas est un bon candidat pour cela. C’était impossible si la famille n’avait pas donné sa bénédiction. En fait, ce n’est jamais facile. Il y a toujours la possibilité que quelqu’un ne parle pas à la police parce qu’il a peur d’être arrêté. Le réalisateur est cependant content car il a “le vrai luxe d’avoir le temps de préparer les épisodes”.
Claude Bardon, commissaire de police de Bordeaux et sympathisant du SRPJ, n’avait jamais consenti à un entretien de sa carrière. Pour le bien de ce métier, il l’a fait. Cela lui a rappelé des souvenirs.
Cette fois-ci, Richard Vargas a pu retrouver de nombreux témoins oculaires. Non, Jacques Hyver n’est pas sorti de prison en 2005. J’ai été en contact avec sa femme, dit-il. Elle m’a dit qu’il s’était présenté aux funérailles de sa mère en 2006, mais avait ensuite disparu. Il est possible qu’il soit quelque part à l’étranger.» Sauf si c’est une blague, bien sûr.
Le 25 décembre, l’émission reviendra de ses vacances avec l’épisode centré sur l’affaire Jacques Hyver. Découvrez ce soir sur RMC Story ce qui se passe dans cet épisode.Six kilomètres plus loin, il aperçoit un policier qui lui fait signe de s’arrêter.
Jean-Luc s’inquiète de ne pas voir arriver son père et décide de repartir dans la direction opposée qu’il a prise car il pense que son père est en un accident. Après avoir erré pendant un moment, il est tombé sur la voiture garée de son père dans un chemin de terre.Avec une certaine appréhension, je m’approchai de la voiture.L’opération “boule de gomme”.
(l’ancêtre du MEDEF).Une offre qui sera repoussée par Jean-Luc.L’équipe de police enquêtant sur le vol industriel décide de s’installer dans la maison de Jean-Luc pour être au plus près des informations fournies par le voleur. La police a lancé “boule de gomme” le 2 juillet, le jour où la rançon a été payée. Six cents agents ont pris d’assaut la ville et inspectent chaque véhicule qui passe.
Six jours passent avant que le fou furieux appelle Jean-Luc pour lui donner le numéro de téléphone de son père. Cependant, la connexion a soudainement chuté et la police n’a pas eu le temps de retrouver l’appelant.
Il n’a été que partiellement révélé quelques jours plus tard. Le méchant fixe un rendez-vous avec Jean-Luc et remet la rançon. Après s’être rendu compte que la police les suivait, un dangereux jeu du chat et de la souris s’ensuit. Le projet de Jean-Luc de retrouver l’assassin de son père les conduit finalement à Paris.
“Ne tirez rien, j’ai l’otage.”En fouillant le chalet, les policiers ont trouvé Michel Maury-Laribière attaché à un lit. Après avoir été retenu captif pendant onze jours au total, les agents l’ont libéré sans exiger de rançon.
La femme qui a caché le PDG a rapidement révélé l’identité de l’homme caché dans l’ombre. Elle voit actuellement un jeune homme d’une famille respectable du nom de Jacques Hyver.
Alors, Jacques a décidé de commettre un braquage afin d’avoir accès à une somme d’argent conséquente.
L’homme est recherché. La police vérifie tous les clubs locaux, sachant que le suspect traîne fréquemment dans cette scène, et finit par le rencontrer alors qu’il en quitte un. Il est alors soumis à l’instruction pour la destitution de Michel Maury-Laribière.
L’homme s’évade de prison à bord d’un camion benne le 10 novembre 1987, et se retrouve en Suisse le 5 janvier de l’année suivante.En 1986, il devient avec François Perigot les premiers vice-présidents du Conseil du mécénat français.
Biographie
Après avoir terminé ses études secondaires à Sainte-Croix de Neuilly et obtenu son baccalauréat en 19382, il poursuit ses études à la Faculté de droit de Paris. Jean-Luc Maury-Laribière était l’un de ses six enfants issus de son mariage avec Monique Lagache.
Il participe aux accords de Grenelle de 1968 en tant que représentant des organisations de mécénat en sa qualité de PDG des tanneries et briqueteries françaises (TBF ; aujourd’hui Terreal) et de premier vice-président du Conseil français du mécénat (CNPF).
Afin de protéger l’entreprise privée et le clientélisme, il lance une « guerre des tranchées » contre le gouvernement socialiste en 1981, aux côtés du candidat de consensus Yvon Gattaz. Il a notamment conçu l’exonération des outils ouvriers de l’IGF, la « taxe sur les grandes fortunes.
ncG1vNJzZmikkaiwprjEm6mirJVjsLC5jqOYnKmlmsButNivnKtlkp68qL7AqZ%2BinV8%3D